Nouvelles des Amis de la Nature

« La protection de la biodiversité est la base de notre prospérité et de notre bien-être. La loi européenne sur la restauration de la nature crée le cadre unique nécessaire à cet effet et offre en même temps aux Etats membres la flexibilité nécessaire pour tenir compte des conditions régionales lors de la mise en œuvre », déclare Andrea Lichtenecker, directrice exécutive de l'Internationale des Amis de la Nature. « Le fait que cette loi entre maintenant en vigueur malgré toutes les résistances, est un grand succès pour le mouvement environnemental, qui montre que l'engagement de la société civile en vaut la peine ».

Des écosystèmes variés et intacts sont la base de la lutte contre la crise climatique et ses effets. Ainsi, les paysages fluviaux proches de l'état naturel fonctionnent comme d'importants réservoirs d'eau protégeant les zones d'habitation contre les inondations. Des sols sains et la présence d'insectes pollinisateurs sont la base de la production de denrées alimentaires. Et les forêts riches en espèces résistent aux attaques de parasites, qui deviennent un problème de plus en plus important pour la sylviculture en raison des températures plus élevées.

D'ici 2030, 20 pour cent de la surface terrestre et maritime de l'UE doit être en bon état écologique, et d'ici 2050, tous les habitats dégradés doivent être restaurés ; l'accent est mis sur les surfaces qui absorbent et stockent le plus de dioxyde de carbone, comme les marais, les zones humides et les forêts. La mise en œuvre locale doit se faire en dialogue avec les propriétaires fonciers et les exploitants agricoles ; la sécurité alimentaire est un objectif central de la loi.

La promotion de la biodiversité va de pair avec la préservation des multiples services rendus par la nature, tels que l'eau propre, l'air pur, la protection contre les inondations et les avalanches et l'approvisionnement en produits agricoles de qualité. Cela s'avère également payant sur le plan financier : chaque euro investi dans la restauration de la nature engendre un multiple d’avantages économiques. Enfin, une nature intacte contribue largement à notre bien-être mental et physique et permet une riche gamme d'activités sportives et de loisirs.

Plus d’informations : https://environment.ec.europa.eu/topics/nature-and-biodiversity/nature-restoration-law_en

Principaux domaines d'action :

• Consulter des citoyens et citoyennes sur la politique énergétique : impliquer la communauté pour recueillir des contributions et encourager le dialogue sur les pratiques énergétiques durables.
• Soutenir une action sur l'éducation au développement durable : renforcer les efforts communs pour intégrer la durabilité dans les programmes scolaires.
• Intégrer l'éducation à l'environnement et au développement durable dans les politiques scolaires : veiller à ce que les écoles adoptent et mettent en œuvre des politiques accordant une priorité à l'éducation à l'environnement et au développement durable.

Dans sa mission de protection du climat, A.T.L.E.D. se propose de mettre en valeur l'influence des cellules des Amis de la Nature dans les écoles de toute l'Algérie. Une campagne de sensibilisation à grande échelle a déjà impliqué de nombreuses écoles et a permis d'informer les élèves sur le problème urgent du réchauffement climatique et sur la nécessité de prendre des mesures.

Mouloud, professeur de sciences naturelles, et Aicha Faridi, enseignante, sont à la tête de cette initiative. Depuis le 3 janvier 2024, ils sont les pionniers d'un programme de sensibilisation visant à former les élèves à devenir des ambassadeurs et ambassadrices de l'environnement. Les activités comprennent des balades dans la nature, la préparation écologique de repas, des discussions à la maison sur des sujets environnementaux, le compostage, le jardinage, la réduction des déplacements en voiture et l'observation de la faune locale.

Leur objectif premier est de promouvoir des changements de comportement à long terme, qui profiteront à notre planète et aux générations futures. La campagne agit non seulement dans les salles de classe, mais aussi dans les familles, en encourageant le dialogue entre les parents et les enfants sur les comportements respectueux de l'environnement. 

Depuis sa création, l'Union européenne a été un garant de paix, et la promotion de la paix reste en tête des objectifs de l'UE. Depuis 1945, aucune guerre n'a eu lieu sur le territoire de l'UE – et cela doit rester ainsi. L'Europe est et reste un projet de paix – et nous devrions soutenir la paix partout dans le monde, non pas en l'armant, mais en utilisant des moyens non militaires. Cette position fait également partie des critères importants pour le vote lors des prochaines élections européennes.

Si vous souhaitez que l'Europe continue à cheminer sur la voie du développement durable, de la solidarité, de l'équilibre social et de la paix, veuillez participer aux élections européennes et soutenir les bons candidats !

Si vous voulez vous informer sur le comportement de vote des partis dans le domaine de la protection du climat et de l‘environnement, vous pouvez le faire ici -->

Les Amis de la Nature de Styrie et la Fédération italienne des Amis de la Nature (G.I.A.N.) ont rapidement trouvé des points communs dans le vaste domaine de la protection de l'environnement et de l'eau, qu'ils souhaitent désormais mettre en valeur dans le cadre de ce projet, notamment en vue d’activités de jeunes. Le projet profite de l'expertise de longue date des partenaires : Les Amis de la Nature italiens s'engagent dans la politique environnementale relative à l’eau, ressource de plus en plus rare, les Amis de la Nature styriens s'occupent de méthodes de travail pour les jeunes, surtout lors de journées de recherche avec leur « sac à dos de l'eau » et des actions de nettoyage de rivières, et le partenaire portugais Cabeço Santo soutient des projets de renaturation par le travail bénévole.

L'échange d'expertise et d'expériences entre les partenaires du projet permet de développer de nouvelles méthodes qui seront ensuite testées sur place avec des jeunes. Il s’agit de motiver les adolescents et les jeunes adultes à s'engager davantage dans le bénévolat environnemental. Pour ce faire, on mise sur la sensibilisation, une compréhension plus profonde des interactions écologiques et surtout sur la volonté d'agir.
 

En juin 2025, les méthodes seront présentées à un public plus large. Le résultat principal sera un manuel détaillé, comprenant un guide pédagogique pour les instructeurs et les animateurs de jeunesse.

Contact :

Petra Ehgartner (Amis de la Nature Styrie/Autriche): petra.ehgartner@naturfreunde-stmk.at

Christian Facchetti (Amis de la Nature Italie GIAN): facchettichristian@yahoo.it

En savoir plus: 

https://www.instagram.com/ecocowala/

Tout au long des Journées mondiales des Amis de la Nature, nous vous invitons à organiser et à participer à diverses activités qui mettent en valeur la beauté de la nature et agissent en faveur de la solidarité. Qu'il s'agisse d'excursions en plein air, de projets communautaires ou d'initiatives éducatives, unissons-nous pour renforcer le lien entre l'homme et l'environnement.

Nous vous encourageons à partager avec nous les informations sur et les photos de vos activités. Veuillez utiliser le hashtag #GlobalNaturefriendsDays et nous taguer sur Instagram (naturefriends_international) ou sur Facebook (Naturefriends International).

Vos contributions seront présentées sur nos réseaux de médias sociaux, permettant à la communauté mondiale des Amis de la Nature de se connecter et d'être inspirée par les merveilleuses initiatives qui ont lieu à travers le monde. 

Nous sommes heureux d'annoncer qu’il est prévu de récompenser trois projets exceptionnels, en attribuant à chacun d’eux la somme de 500 euros. Ces prix visent à reconnaître et à soutenir des efforts porteurs de fruits et correspondant aux valeurs et objectifs du mouvement des Amis de la Nature.
Faisons des Journées mondiales des Amis de la Nature 2024 une expérience mémorable et percutante. Ensemble, nous pouvons amplifier le message de la nature, de la solidarité et de l'effort collectif pour réussir un monde durable et interconnecté.

Pour plus d'informations, veuillez consulter les lignes directrices : 

https://drive.google.com/file/d/1lNHBDrdmmmiNseV-XG8uGkMVmhR4rYPF/view?pli=1

Ou contactez Elena Teutsch : elena.teutsch@nf-int-org

Nous nous réjouissons de célébrer la nature et la solidarité avec vous lors des Journées mondiales des Amis de la Nature 2024 !

Depuis de nombreuses années, la protection du climat et la justice climatique font partie des thèmes centraux des activités internationales des Amis de la Nature. Depuis 2017, le Fonds des Amis de la Nature pour le climat finance des projets en Afrique, qui contribuent à réduire les effets du changement climatique, à améliorer les conditions de vie des populations et à protéger le climat. Avec le réseau établi des Amis de la Nature en Afrique et des organisations membres dans 16 pays africains, nous mettons en œuvre des projets partenariaux et durables en étroite collaboration avec les populations locales.

Les résultats décevants de la dernière COP27 ainsi que l'incapacité des responsables politiques et des décideurs aux niveaux européen et national à faire face à la crise climatique, nous ont incités à réfléchir à notre engagement : comment pouvons-nous mieux réagir au changement climatique ? Comment pouvons-nous contribuer plus activement à l'atténuation du changement climatique et à la justice climatique ? Et comment pouvons-nous soutenir le plus efficacement possible nos membres et partenaires dans le Sud global, qui sont les plus touchés par le changement climatique ?

La présente enquête devait nous permettre de déterminer, au sein de notre réseau mondial, comment les effets du changement climatique, tels que les incendies, les inondations, la sécheresse, les tempêtes, la chaleur, le manque de neige, l'augmentation des coûts d'assurance, etc. affectent nos organisations membres et comment les organisations elles-mêmes contribuent à la réduction des émissions de gaz à effet de serre et à une plus grande justice climatique. De plus, nous souhaitions obtenir un feedback sur nos campagnes et initiatives internationales et faire un inventaire des idées pour un engagement commun fort en faveur de la protection du climat et de la justice climatique. Les résultats de cette enquête constituent la base à notre programme de travail pour les prochaines années.

51 groupes et sections d'Amis de la Nature de 20 pays du monde entier ont répondu à l'enquête réalisée entre mars et mai 2023.

Les principaux résultats montrent que plus de 50% des répondants sont très préoccupés par le changement climatique. De plus, nous n'avons reçu aucun commentaire sceptique, ce qui nous encourage à croire que la crise climatique est une question importante pour le mouvement des Amis de la Nature, même si les groupes évaluent l'impact immédiat du changement climatique différemment en fonction de leur localisation dans le monde. Une différence significative a été constatée entre les préoccupations des pays du Sud et celles des pays du Nord.

En outre, plus de la moitié des sections et groupes participants se sont engagés à prendre des mesures en faveur de la justice climatique.

Cependant, notre principal outil de lutte pour la justice climatique, le Fonds climatique des Amis de la Nature, était inconnu de près de 30 % des répondants, ce qui nous a amenés à demander que les informations fournies par l'IAN soient diffusées par le biais de canaux de médias sociaux et de bulletins d'information.

Néanmoins, il y a un grand espoir que la situation s'améliore, car près de 80 % des répondants souhaitent participer à une campagne internationale commune pour promouvoir la justice climatique.

Notre dernier projet du Fonds pour le climat "Parrainage d'arbres au Sénégal et en Gambie" a également fait l'objet d'une interrogation et nous avons découvert que près de 65 % des organisations et groupes participants envisagent de parrainer un arbre.

Ce sont des résultats très encourageants, mais jusqu'à présent, nous manquons de parrains mensuels, qu'il s'agisse d'individus ou de groupes. Les dons au Fonds pour le climat sont les bienvenus à tout moment et sous toute forme, mais les dons réguliers permettent d'allonger l'horizon de planification et donnent à nos membres africains la fiabilité nécessaire à la mise en œuvre durable de leurs projets.

Parrainez un arbre ! Cela est possible tout au long de l'année, et vous pouvez également y mettre fin à tout moment. Avec votre don, vous nous aidez à planter au moins 3 500 arbres fruitiers par an, ce qui offre de nouvelles perspectives aux habitants des villages et renforce le rôle des femmes, qui sont traditionnellement chargées de cultiver les jardins et les champs !

Vous pouvez lire plus de détails sur les résultats de cette enquête ici : https://sites.google.com/nf-int.org/digitalebibliothek/digitale-bibliothek/klimawandel-klimaschutz/klimaumfrage-2023

Trois projets ont été récompensés par le Bureau de l’IAN : l'activation du pressoir traditionnel à vin Dafni par les Amis de la Nature de Grèce, la « Journée culturelle » à Timișoara des Amis de la Nature d'Arad & Timisoara (Roumanie) et le Clean-up-Day des Amis de la Nature de Vienne (Autriche). Vous pouvez lire tous les détails ici :
https://drive.google.com/file/d/1XPiHLUQgyLYHrdAOu-Icg2NTYYV0MS5F/view?pli=1

Au cœur des Alpes italiennes, près du col de Gavia, à 2 600 mètres d'altitude, à la frontière entre la Valtellina et la Valcamonica, se trouve un magnifique lac alpin appelé Lago Bianco (Lac blanc), l'un des rares (peut-être le seul) lacs alpins d'origine arctique alimenté par les eaux boueuses de la fonte des glaciers, qui constitue un élément central d'un écosystème unique.

La zone est protégée par des réglementations environnementales très strictes et pourtant, une entreprise a réussi à obtenir l'autorisation d'effectuer des travaux d'excavation pour poser des tuyaux afin de puiser de l'eau dans le lac et d'alimenter ainsi en neige artificielle la station de ski voisine de Santa Caterina Valfurva, et ceci bien que la zone fasse partie du parc national du Stelvio.

En collaboration avec d'autres associations environnementales, les Amis de la Nature Italie GIAN soutiennent la lutte et l'engagement d'un comité de soutien local pour empêcher ce projet. Pour cela, le soutien de personnes est recherché, ayant des connaissances techniques et scientifiques (botanistes, géologues, glaciologues, etc.) capables de rédiger un avis pouvant remettre en question les évaluations qui ont conduit à l'autorisation des travaux.

Le comité est très motivé et a lancé une collecte de fonds, a engagé un avocat et a déjà fait appel à toutes les autorités concernées pour s'opposer à la poursuite des travaux.

Plus d'informations : https://www.amicidellanatura.it/gian/salviamo-il-lago-bianco/
Actualité : https://m.facebook.com/groups/1328549291431125/
Dons : https://www.gofundme.com/f/salviamo-il-lago-bianco?utm_campaign=p_cp+share-sheet&utm_medium=copy_link_all&utm_source=customer

La présente enquête devra nous permettre de déterminer, au sein de notre réseau mondial, comment les effets du changement climatique, tels que les incendies, les inondations, la sécheresse, les tempêtes, la chaleur, le manque de neige, l'augmentation des coûts d'assurance, etc. affectent nos organisations membres et comment les organisations elles-mêmes contribuent à la réduction des émissions de gaz à effet de serre et à une plus grande justice climatique.
 
De plus, nous voulons obtenir un feedback sur nos campagnes et initiatives internationales et faire un inventaire des idées pour un engagement commun fort en faveur de la protection du climat et de la justice climatique.
 
Les résultats de cette enquête serviront de base à notre programme de travail pour les prochaines années et à une discussion en profondeur dans le cadre du Congrès de l’IAN qui se tiendra le 7 octobre 2023 à Spital am Pyhrn, en Autriche.
 
Voici le lien vers le sondage : https://forms.gle/K1XTa99AMgUFDxh78
 
Les réponses seront traitées de manière confidentielle et anonymisées, et feront l'objet d'une analyse statistique. Nous demandons uniquement le nom des groupes/associations afin de pouvoir les contacter si nécessaire et de regrouper les réponses par région et par taille d'association/groupe.
 
Merci de distribuer ce courriel et d'inclure le texte et le lien vers le sondage dans vos bulletins d'information. Nous avons besoin des réponses de tous les groupes, petits ou grands, nationaux, régionaux ou locaux, pour que cette enquête soit un succès ! La date limite de réponse à l'enquête est le 15 mai 2023 ! Merci beaucoup !
 
Pour toute question, veuillez contacter Elena Teutsch : elena.teutsch@nf-int.org

Les Journées mondiales des Amis de la Nature doivent être centrées sur une activité des Amis de la Nature, comme par exemple une randonnée guidée, une conférence intéressante ou une action de reboisement. S'il existe un Sentier Natura dans votre région, vous pourriez y organiser une randonnée. Bien sûr, là où c'est possible, nos Maisons des Amis de la Nature devraient aussi être impliquées. Nous vous encourageons à montrer l'exemple et à associer vos actions (si vous n'avez pas d'autres idées) au Fonds des Amis de la Nature pour le climat (voir www.climatefund.nf-int.org).

Que vous soyez un petit groupe local ou un groupe plus important, ce qui compte, c'est votre message, votre engagement et votre volonté de partager vos actions inspirantes au sein du réseau des Amis de la Nature. Nous serions donc ravis de recevoir des informations et des photos de vos activités. Nous les publierons sur nos canaux de médias sociaux. Veuillez envoyer un bref rapport et quelques photos pertinentes à : elena.teutsch@nf-int.org

En outre, trois projets sélectionnés seront récompensés lors du Congrès de l’IAN, le 7 octobre 2023, et recevront chacun 500 euros. Participer est donc doublement payant !

Vous trouvez ici un petit guide présentant l'événement, des détails sur la participation et les critères que le jury prendra en compte pour sélectionner les trois projets gagnants. Nous avons également établi un calendrier des étapes à suivre d’ici à l'événement : https://drive.google.com/file/d/12DsSIbbvrv2mTeDOdGS4gkiWIRZeDGEU/view
Et ici, des exemples d’activités de l'année dernière, pouvant servir d’inspiration : https://drive.google.com/file/d/1rnlBYjhYA1lsoqjZmmTQnR6nNX-PxYv6/view

Cette résolution appelle à un cessez-le-feu immédiat et sans conditions préalables. En outre, l'Europe y est appelée à assumer la responsabilité pour une solution pacifique au lieu de livrer des armes lourdes dans la zone de guerre. L'accent est mis sur la nécessité d'un changement de cap fondamental, par un système de sécurité commun et par l'organisation socio-écologique de la transformation, devant déboucher sur le développement durable et renforcer la cohésion en Europe. Il devient de plus en plus évident que l’on se trouve à une croisée des chemins : soit on entre dans une nouvelle phase de désarmement, de détente et de coopération pacifique, soit les conflits mondiaux débouchent sur un regain de violence.

Lire la résolution (en allemand): https://www.naturfreunde.de/friedensresolution

Il s'agit d'une jeune organisation qui poursuit les objectifs suivants :

• mettre en œuvre et développer des activités dans le domaine de la randonnée, du tourisme de montagne, du cyclisme, du tourisme aquatique, du ski et du tourisme des jeunes en Europe,
• organiser des activités visant à promouvoir la coopération sportive, culturelle, scientifique et artistique entre les jeunes, les bénévoles, les formateurs et les gestionnaires de différents pays,
• soutenir le développement de l'éducation non formelle,
• coopérer avec d'autres organisations au sein de l'Union européenne sur des projets éducatifs,
• donner aux jeunes la possibilité de découvrir et de respecter la culture d'autres pays européens grâce à différents programmes de mobilité.

L’IAN souhaite la bienvenue à son nouveau membre et se réjouit déjà d'une collaboration fructueuse !

otislovakia.sk

La nouvelle section ne gérera (du moins pour le moment) aucune maison, mais se propose de partager une réalité associative dans laquelle les gens décident de prendre soin d'eux-mêmes, des nouvelles générations et du lieu où ils vivent.

Le président de la nouvelle section, Marco Focacci, a présenté le parcours dans lequel lui et les autres volontaires se sont engagés il y a quelques années quand est née l'idée de s'installer dans une zone abandonnée par le RFI (Réseau Ferré Italien) pour en faire un centre urbain multifonctionnel.

Aujourd'hui, après avoir parcouru avec patience et persévérance les procédures bureaucratiques nécessaires, la section « Binario » partage l'ancienne zone du RFI avec l'association locale « Libera » (Association italienne contre la mafia) et deux groupes de scouts. Ensemble, ils veulent proposer aux familles un espace accueillant et inclusif où elles peuvent passer leur temps libre mais aussi se consacrer à l'entretien de jardins communautaires et promouvoir des projets d'éducation environnementale et des activités pour les enfants. Nous souhaitons à la nouvelle section de Sesto Fiorentino un avenir plein de succès.

https://www.amicidellanatura.it/binario-la-nuova-sezione-amici-della-natura/

(Octobre 2022)

Mamadou ne parle expressément pas de changement climatique, mais de crise climatique – une crise dont les principaux responsables sont les pays du Nord global en raison de leurs émissions de gaz à effet de serre et dont le continent africain doit supporter la charge principale, avec des émissions propres minimes. Les conséquences sont graves : perte de biodiversité, érosion côtière suivie de la destruction d’habitats, inondations fréquentes, mais aussi longues périodes de sécheresse récurrentes, déclin de l'agriculture, sécurité alimentaire en danger, et ainsi de suite.

Mamadou ne rejette pas la culpabilité au seul Nord, nous sommes tous responsables de ces développements, mais nous ne le sommes pas tous au même degré. Et nous n'avons pas tous les mêmes possibilités d'y réagir. Les Amis de la Nature africains en appellent donc à la solidarité du Nord global, dans un esprit de justice globale. La solidarité est l'une des valeurs centrales du mouvement des Amis de la Nature – et le Fonds pour le climat des Amis de la Nature est un instrument permettant de mettre en œuvre cette solidarité de manière concrète. https://climatefund.nf-int.org/

Quatre membres du Bureau exécutif de 2ADIB-MALI/Amis de la Nature se sont rendus en juin Farako, un village situé à 400 km de la capitale Bamako, pour lancer le projet.

Lors du lancement officiel du projet, le Bureau exécutif avait pour mission de sensibiliser les populations et de fournir des informations complètes sur le thème complexe du changement climatique, de montrer les objectifs du projet et le rôle des personnes impliquées.
Ont participé à cette rencontre le chef du village et ses conseillers, un représentant de la Direction régionale chargée de l'Environnement, le président de 2ADIB-MALI/Amis de la Nature et d'autres membres de l'équipe ainsi que, bien entendu, la population locale.

La cérémonie a commencé par une allocution du chef de village, Drissa Traoré, et de la présidente des Amis de la Nature de Farako, Coulibaly Habi Bagayoko. Tous deux ont exprimé leur satisfaction et leur joie de voir un tel projet se réaliser dans leur village. Au nom de tout le village de Farako, Drissa Traoré a également remercié l’Internationale des Amis de la Nature pour le soutien apporté au projet.

Le président de 2ADIB-MALI/Amis de la Nature, Moussa Traoré, a indiqué que le « Projet Entreprise Pépinière » est financé par le Fonds des Amis de la Nature pour le climat, afin de participer à la lutte contre le réchauffement climatique – qui est une menace mondiale et qui doit être combattu à l'échelle mondiale.

L'événement a été axé sur la présentation du projet, la mise en évidence des avantages des arbres fruitiers pour les populations et la remise des outils de travail pour la mise en œuvre du projet. Le président, Moussa Traoré, a remis officiellement et symboliquement le matériel à la présidente de la section locale des Amis de la Nature de Farako, Mme Coulibaly Habi Bagayoko.

Invitée par le chef du village, l'équipe a visité le site où le projet sera mis en œuvre. Accompagnés par les joueuses de « tchitiata », un instrument de musique local, les participants ont fait le tour du terrain et ont délimité le périmètre de la pépinière avec des piquets.

L'organisation 2ADIB-MALI/Amis de la Nature compte, dans les années à venir, faire du « Projet Entreprise Pépinière » un instrument efficace de sensibilisation des populations maliennes à la lutte contre le réchauffement climatique.

Budget du projet : 6 030 euros. 4 180 euros sont encore nécessaires pour que le projet soit mené à bien !

Grâce à votre don au Fonds des Amis de la Nature pour le climat, vous pouvez soutenir ce projet important de manière rapide et informelle ! https://climatefund.nf-int.org/fr/un-don/

Claudia Mazzocco, l'actuelle directrice adjointe et responsable du marketing et de la communication, sera placée sur un pied d'égalité avec l'actuel directeur Ramon Casanovas. L'équipe bien rodée sera ainsi encore renforcée. Avec ce changement, les Amis de la Nature Suisse font un pas important vers la promotion des femmes dans les postes de direction. https://naturfreunde.ch/

L'entrée principale actuelle, par laquelle les masses d'eau se sont infiltrées, sera fermée et une nouvelle entrée sera créée à un endroit sûr. De plus, un mur de protection sera construit pour empêcher l'eau de pénétrer sur le site.

Au cours des prochains mois, nous vous informerons de l'avancement des travaux dans notre Newsletter et sur notre page Facebook (https://www.facebook.com/nfint.org).

Nos remerciements vont à toutes les donatrices et à tous les donateurs qui ont contribué à cette réussite en si peu de temps ! Mamadou Mbodji, Secrétaire général adjoint de l'Association Sénégalaise des Amis de la Nature (ASAN) de dire : « Il est impressionnant de voir avec quelle rapidité les fonds nécessaires ont été réunis pour les travaux de réhabilitation indispensables et avec quelle générosité de nombreux Amies et Amis de la Nature ont apporté leur soutien. Au nom des Amis de la Nature du Sénégal (ASAN), nous adressons un très grand merci à nos amies et amis européens ».

En collaboration avec des spécialistes, les Amis de la Nature du Sénégal ont élaboré un plan d'assainissement détaillé prévoyant le déplacement de l'entrée principale du site ainsi que la rétention et le pompage des masses d'eau qui affluent du terrain voisin en cas de fortes pluies. En outre, les dégâts au niveau des salles et locaux du rez-de-chaussée, qui ont été affectés par les infiltrations d'eau, doivent être réparés.

Le coût des travaux s'élève à environ 20 000 euros. Afin d'éviter des dommages encore plus graves, les travaux doivent avoir lieu avant la prochaine saison des pluies (démarrant probablement en juillet). Nous voulons donc essayer d'assurer le financement le plus rapidement possible. En plus d'autres sources de financement, nous dépendons pour cela de vos dons. Chaque don apporte une contribution importante au sauvetage de la seule Maison des Amis de la Nature africaine, qui sert depuis près de 20 ans de centre régional d'éducation à l'environnement et de base pour les voyages des Amis de la Nature.

La construction de la Maison ayant été financée en grande partie par des dons d'Amis et Amies de la Nature européen/ne/s, nous sommes convaincus que nous pourrons également réaliser ensemble les mesures de rénovation nécessaires et donner ainsi un signal important de solidarité internationale en ces temps difficiles !

Nous vous informerons régulièrement du progrès de cet appel à dons et de l'avancement des travaux de rénovation via notre Newsletter et notre page Facebook (https://www.facebook.com/nfint.org).
Vous trouvez plus d'informations sur la Maison sur notre site web : https://www.nf-int.org/fr/themen/125-activites/029-inauguration-de-la-premiere-maison-des-amis-de-la-nature-en-afrique

Veuillez verser vos dons sur le compte de l’IAN avec la mention « Maison des Amis de la Nature Dakar » :
Intitulé du compte : Naturfreunde Internationale
Objet : Maison des Amis de la Nature Dakar 
IBAN: AT88 14000 05610 665 499
BIC: BAWAATWW

S’appuyant sur les valeurs des Amis de la Nature, le conseil d'administration des Amis de la Nature des Pays-Bas a décidé d'accueillir des réfugiés d'Ukraine dans leurs Maisons. Juste après Pâques, un bus est arrivé de Pologne avec un groupe nombreux de réfugiés de guerre ukrainiens – principalement des mères avec leurs enfants, qui trouvent maintenant la paix et le repos dans la Maison des Amis de la Nature ABK dans la municipalité de Brummen-Hall. La Maison, qui peut accueillir une soixantaine de personnes, sera pour un certain temps un « foyer » pour ces personnes. Dans le cadre d'une initiative d'accueil et d'intégration, les voisins ont accueilli les nouveaux arrivés à Hall avec un drapeau fait main en ukrainien, et les familles ukrainiennes seront invitées au Festival de Pentecôte, qui se tient depuis plus de 50 ans dans le jardin de la Maison des Amis de la Nature à Brummen-Hall.

Vous pouvez lire les détails de cette histoire d'humanité en allemand ici:

Fluchtlingshilfe in den NiederlandenDE.pdf

Depuis la fondation du mouvement des Amis de la Nature, nous plaidons pour un monde dans lequel des sociétés égales, justes, pacifiques et démocratiques peuvent se développer et prospérer au bénéfice de tous les citoyens. La paix et la solidarité sont les valeurs clés de notre organisation. L'IAN est solidaire de toutes les personnes vivant en Ukraine et des réfugiés qui cherchent de l'aide dans les pays voisins. Nous saluons la décision des Etats membres de l'UE d'accorder un accès non-bureaucratique aux territoires de l'UE. Nous appelons nos membres individuels à soutenir ces personnes de la meilleure façon possible. Nous faisons également appel à nos organisations membres pour voir si nous pouvons offrir des maisons aux Amis de la Nature pour un abri temporaire.

Les Amis de la Nature font partie du mouvement pour la paix et participent aux nombreuses manifestations dans le monde entier. Nous applaudissons et sommes solidaires de tous ceux qui, dans la Fédération de Russie, s'opposent à cette guerre injuste, protestent pour la paix et font face à la répression et aux arrestations.

Il s'agit de la plus importante crise politique et militaire à laquelle le continent européen a été confronté depuis des décennies. Le risque de guerre nucléaire n'a jamais été aussi préoccupant depuis la fin de la guerre froide. Nous demandons à la Fédération de Russie de cesser toute action militaire, de retirer ses forces et d'utiliser des moyens diplomatiques et non violents pour poursuivre ses objectifs.

Dans le même temps, nous appelons les tierces parties à empêcher une nouvelle escalade militaire du conflit. Les appels au réarmement et à la puissance militaire se multiplient. Le réarmement militaire est la mauvaise solution. La militarisation d'un conflit n'a jamais apporté de solution, mais a été un pas de plus vers l'abîme dans le passé. On ne peut jamais éteindre la guerre en versant de l'huile dessus.

La guerre brutale en Ukraine n'a pas surgi parce que l'on a trop peu investi dans l'armement. Au contraire, la guerre a éclaté parce que la politique de paix et de détente n'a pas été poursuivie depuis la chute du rideau de fer en 1989.

La guerre en Ukraine est clairement la guerre de M. Poutine et il doit y mettre fin immédiatement. Mais elle est aussi la conséquence de la perte des grandes opportunités de l'année historique 1990. À l'époque, la Charte de Paris avait jeté les bases d'une "Maison commune de l'Europe". En 2001 encore, Poutine a été applaudi debout au Bundestag allemand lorsqu'il a exposé ses perspectives pour une nouvelle Europe. Mais les mains tendues n'ont pas été acceptées à l'époque. Au lieu de cela, on a assisté à une expansion constante de la sphère d'influence occidentale et au durcissement idéologique de Poutine, ce qui a conduit à la guerre irrationnelle d'aujourd'hui.

Les Amis de la Nature demandent que l'on revienne enfin au système de sécurité commune. La politique de paix ne signifie pas l'armement, la politique de paix signifie la sécurité commune. Nous avons besoin de cette sécurité commune non seulement pour la paix, mais aussi pour surmonter la crise climatique et les inégalités sociales.

Manfred Pils | Président de l'IAN
Au nom du Groupe thématique sur les politiques européennes et du Comité de direction de l'IAN.

Au cœur des Journées Mondiales des Amis de la Nature devrait se trouver une activité des Amis de la Nature, comme une promenade guidée, une conférence intéressante ou une action de plantation d'arbres. S'il y a un sentier Natura dans votre région, vous pouvez organiser une promenade à cet endroit. Dans la mesure du possible, bien sûr, les Maisons des Amis de la Nature doivent être impliquées !

Nous vous encourageons à lier vos actions à la promotion du Fonds pour le Climat des Amis de la Nature et/ou à la collecte de dons pour les projets du Fonds pour le climat (voir www.climatefund.nf-int.org). Ces fonds seront utilisés pour financer des plantations d'arbres en Afrique mis en œuvre par des associations africaines d'amis de la nature, comme mesure contre le changement climatique et comme signe de la solidarité internationale qui caractérise le mouvement des Amis de la Nature depuis le début.

Plus il y aura de groupes qui participeront, plus les Journées Mondiales des Amis de la Nature auront du succès et plus le mouvement des Amis de la Nature sera visible!

Nous partagerons toutes les activités dans nos médias. En plus de cela, trois projets seront choisis pour être primés lors de notre Conférence annuelle du 15 octobre 2022 et recevront chacun 500 euros. La participation est donc doublement payante ! Veuillez envoyer un court rapport et deux à trois photos significatives à elena.teutsch@nf-int.org.

Vous trouverez plus d'informations sur la façon de vous impliquer dans notre guide :

https://sites.google.com/nf-int.org/digitalebibliothek/digitale-bibliothek/nfi-berichte-sonstiges/global-naturefriends-days-2022

Michael Müller, président fédéral des Amis de la Nature Allemagne, qui a co-organisé la manifestation, a prononcé un discours impressionnant appelant à la fin immédiate de toutes les attaques, au retrait de la Russie d'Ukraine et au retour à la diplomatie. Ce que Poutine tente de justifier comme une "opération spéciale russe" de « démilitarisation » et de « denazification » est une guerre d'agression criminelle. Mais pour Michael Müller,  « la guerre n'est pas acceptable. La guerre ne doit pas être justifiée ».

Manfred Pils, président de l'Internationale des Amis de la Nature, soutient les revendications au nom du mouvement international des Amis de la Nature: « Nous sommes profondément choqués par la guerre de M. Poutine contre l'Ukraine. Le peuple ukrainien a le droit de vivre en paix sur son territoire. Les armes n'ont jamais été une solution. M. Poutine doit mettre fin à la violence brutale contre l'Ukraine. J'appelle tous les Amis de la Nature du monde entier à se joindre aux protestations pacifiques contre cette guerre. »

Plus d'informations sur la manifestation pour la paix en Allemagne : https://www.naturfreunde.de/krieg-ist-im-atomzeitalter-das-ende-aller-dinge-herr-putin-treten-sie-die-zuendschnur-aus

Un thème central était la forte dépendance des régions touristiques du Sud global vis-à-vis des touristes des pays riches. Nabaraj Adhikari, de la section de Pokhara des Amis de la Nature du Népal, a par exemple évoqué les conséquences dramatiques de l'arrêt du tourisme dû à la Covid-19 sur la situation économique des populations.

Anne Kretzschmar et Alexander Araya de Stay Grounded (https://stay-grounded.org/) ont souligné l'urgence d'une transition équitable du transport aérien vers une mobilité respectueuse du climat : dès aujourd'hui, le transport aérien, bien qu'il ne concerne qu'une minorité de personnes à l'échelle mondiale, contribue à concurrence de 3,5 % au changement climatique anthropogène, et la tendance est à la hausse. À cela s'ajoutent les effets négatifs de l'extension et de la construction d'aéroports afin de permettre à un nombre croissant de touristes de se rendre le plus rapidement et le plus confortablement possible vers des destinations éloignées.

Lors de la discussion qui a suivi les présentations, un large consensus s'est dégagé sur la nécessité d'un changement fondamental dans le tourisme mondial. L'implication des habitants des destinations touristiques est essentielle, ce que Mamadou Mbodji, Président du Réseau africain des Amis de la Nature et Vice-Président de l'Internationale des Amis de la Nature, a également souligné dans son intervention. Car si les touristes peuvent se rabattre sur des destinations plus proches et accessibles de manière écologique, les habitants des pays du Sud sont tout aussi dépendants d'un certain degré de mobilité que de la création de valeur touristique. Et enfin et surtout, le tourisme mondial contribue de manière essentielle aux échanges interculturels, qui prennent de l'importance en ces temps de nationalisme croissant.

Pour plus d'informations sur la rencontre : https://www.naturfreunde.de/termin/fachtag-kein-einkommen-dafuer-saubere-luft

Pour un long week-end, du 30 septembre au 3 octobre 2021, 50 Ami/e/s de la Nature se sont retrouvé/e/s à Chocen en Bohème orientale, où ils ont tenu la réunion nationale des Amis de la Nature de Tchéquie. Après une pause forcée due à la Covid-19 l'année dernière, la rencontre comportait, comme de coutume, un programme varié de randonnées et d’excursions (à vélo) dans la région, de soirées conviviales avec guitare, un tournoi de bowling, un atelier artistique et la possibilité d'échanger des expériences pour les activités futures.

Cette année, on fêtait aussi un anniversaire : le 30e anniversaire de l'association. Les Amis de la Nature de Tchéquie s’inscrivent dans la tradition du mouvement des Amis de la Nature d'avant-guerre, dont la première section a été fondée en Bohême septentrionale dès 1897, mais qui n'a pu fonctionner en République tchèque pendant les deux régimes totalitaires du XXe siècle. Ce n'est qu'en 1991 que l'association a été renouvelée à Jablonec nad Nisou. Actuellement, les Amis de la Nature de Tchéquie sont actifs dans sept régions. Une soirée entière de la réunion nationale a été consacrée à la commémoration de cet anniversaire.

Après quatre jours passés ensemble, riches en activités conjointes, en nouvelles expériences et idées, ayant permis de retrouver d’anciens amis et de s’en faire de nouveaux, et après une photo de groupe finale, il était visiblement difficile pour les participant/e/s de se dire au revoir. Rendez-vous à la prochaine réunion nationale l'année prochaine !

Plus d'informations et de photos sur la page des Amis de la Nature de la de Tchéquie : http://www.pratele-prirody.cz/aktuality/2021_-ix_-setkani-pratel-prirody-chocen

Actuellement déjà dans sa neuvième année, « NaturFreundeGeschichte/NatureFriendsHistory » publie des essais sur la recherche historique relative aux Amis de la Nature ainsi que des articles de synthèse, des trouvailles sur l'histoire des associations régionales, de nouvelles sources et des aperçus de la recherche actuelle – le plus souvent en allemand, mais de temps en temps on y trouve aussi des textes en anglais. Les archives contiennent 18 numéros remplis de comptes rendus historiques particulièrement intéressants, par exemple sur le travail culturel des Amis de la Nature américains, les premières années de l’Internationale des Jeunes Amis de la Nature, le Résistant et militant des Amis de la Nature Otto Kohlhofer, l'influence des Amis de la Nature sur les marches de Pâques, l'Internationale des Amis de la Nature du Rhin supérieur et bien d'autres thèmes.

Afin d'assurer la pérennité de la revue, le rédacteur bénévole – l’Ami de la Nature Dieter Gross de Regensburg en Bavière – souhaite remettre la revue en ligne en d'autres mains à l'avenir. Les Amis de la Nature intéressés par l'histoire sont donc cordialement invités à fouiller dans les archives de la revue et à contacter Dieter Gross pour participer à cet important projet.
Plus d´informations : www.geschichte.naturfreunde.org

Irvin Mujčić, figure centrale de cette association, croit en un avenir pour la région, allant au-delà de la prospérité économique, ceci grâce à un tourisme durable, mais qui favorise surtout les échanges culturels.

Les Amis de la Nature néerlandais veulent contribuer à cette belle initiative et ont commencé à collecter des dons pour la restauration d'un moulin à eau près de Srebrenica. Ce moulin produira non seulement de l'électricité pour le village des Amis de la Nature, mais permettra également aux agriculteurs locaux de moudre de la farine et de faire du pain.

Pour symboliser l'engagement dans ce projet et en même temps pour commémorer les tristes événements de la guerre civile en Bosnie-Herzégovine, les Amis de la Nature néerlandais ont planté le 11 septembre un bouleau dans le jardin de la Maison des Amis de la Nature à Hall.

Le résultat de l’action de solidarité pour les Amis de la Nature en Bosnie s’élève à environ 2 500 euros !

Sur leur site web, vous pouvez contribuer à ce projet sous la rubrique « Naturefriends Srebrenica Project » (https://nivon.nl/nieuws/city-of-hope-er-gloort-hoop-voor-srebrenica/?fbclid=IwAR3SIfjZO3YJb1W2SlA67AuYDemiDh0rArEUG15q-jloQ7pgTqdIa5vJKXA)

Pour faire des dons : https://doneren.nivon.nl/?fbclid=IwAR3nB-8NpnDrXd7WmvLJ7srT8hFMd2WqfTNfHClxLIm7dv4sKcn4UWUiamU

Infos sur projet Srebrenica City of Hope (en anglaise) : https://srebrenicahope.wordpress.com/

Le projet tri-national Allemagne, Bénin et Sénégal, tenu à Dakar du 10 au 18 septembre a eu lieu sans les jeunes allemands en raison de restrictions sanitaires dans leur pays. Cependant, les Béninois et les Sénégalais ont pu partager, à la Maison des Amis de la Nature à Petit Mbao, une semaine de travail intense, basée sur des méthodologies non formelles. Ils ont également eu l'occasion d’entreprendre des visites de découverte écologique et culturelle.

La rencontre avait pour objectif de former à l'animation de groupes d'Amis de la Nature et à la réalisation d'un story-telling numérique. Il est à noter que lors de cette rencontre, des réunions en ligne ont permis au groupe allemand d’échanger avec le groupe sénégalo-béninois sur certaines questions.

Afin de préserver ces précieux écosystèmes, les Amis de la Nature au Sénégal (ASAN) et JUST ACT, organisation partenaire gambienne de l’IAN, ont lancé un projet de reboisement de mangroves en juin 2021. En coopération avec les Amis de la Nature d'Allemagne et les fédérations régionales des Amis de la Nature de Bade, Wurtemberg et Berlin, ils plantent des palétuviers à Saint-Louis (Sénégal) et Janjanbureh (Gambie). Ce faisant, ils veulent contribuer ensemble plus de justice climatique. Dans le cadre du projet, des pépinières sont créées et les structures organisationnelles locales renforcées ; des personnes sont également formées pour prendre soin des plantations et les protéger.

La mangrove est un écosystème de grande valeur, riche en espèces, qui protège les rivages de l'érosion, constitue une source importante de nourriture et de revenus pour la population grâce à l'abondance de poissons et enfin, en tant que puits de carbone, contribue dans une grande mesure à la protection du climat.  

Plus d´informations sur le site web de JUST ACT :
https://www.justactgambia.org/post/multi-benefits-of-mangrove-development-in-crr

Lisez le rapport de Mamadou Mbodji sur Facebook sur le lancement du projet :
https://www.facebook.com/nfint.org/posts/10158550660097749

FundAmbiente soutient 30 communautés du département d’Atlántida, qui se sont unies au « Movimiento Amplio por la Dignidad y la Justicia (MADJ) », pour défendre leurs moyens de subsistance. En effet, depuis le coup d'État de 2009, le gouvernement de fait du Honduras mène une politique néolibérale de bradage des ressources. Pour plus d'un tiers du territoire hondurien des concessions ont été accordées à des entreprises nationales et internationales – principalement pour des projets miniers et hydroélectriques. Cela signifie l'affaiblissement, voire la perte, des moyens de subsistance des populations des zones touchées.

Au cours du projet, FundAmbiente a organisé des activités de formation et d'information dans les communautés situées le long de la rivière Jilamito. Et un premier succès partiel a déjà été obtenu : La banque de développement des États Unies (DFC) a retiré son soutien financier à la centrale hydroélectrique illégale de Jilamito. Dès le démarrage de sa construction, cette centrale polluait déjà la rivière dont dépend l'approvisionnement en eau potable de douze communautés.

Lire la suite sure le site web des Amis de la Nature d’Allemagne et sur le site web de MADJ.

Toutes nos organisations nationales et nos groupes locaux sont invités à participer avec leurs propres activités et à collecter des dons pour le Fonds des Amis de la Nature pour le climat (https://www.climatefund.nf-int.org/fr), qui seront utilisés pour financer des plantations d'arbres en Afrique – afin d’agir contre le changement climatique et faire valoir la solidarité internationale qui caractérise le mouvement des Amis de la Nature depuis ses débuts.

Nous partagerons toutes les activités dans nos médias. En plus de cela, trois projets seront choisis pour être primés lors de notre Conférence annuelle du 23 octobre 2021 et recevront chacun 500 euros. La participation est donc doublement payante ! Veuillez envoyer un court rapport et deux à trois photos significatives à : elena.teutsch@nf-int.org

Le projet, fortement souhaité et soutenu par les populations et toutes les structures locales, consiste en un forage avec un château d'eau dont le réservoir est alimenté par une pompe électrique alimentée par des panneaux solaires. Quelques défis, principalement d'ordre financier, ont dû être surmontés avant que l'ambitieux projet puisse être inauguré le 27 mars 2021.

Le nouveau puits, baptisé « Michèle Davieau » en l'honneur de son initiatrice et ancienne présidente des Amis de la Nature France, facilitera l'accès à l'eau pour la communauté rurale de Finkolo, mais surtout améliorera le quotidien des femmes du village. 

Ce projet s'ajoute à un autre réalisé en 2020 à Finkolo, à savoir un magasin de stockage de produits agricoles, également visant à atténuer les effets du changement climatique. Le projet a été financé par le Fonds des Amis de la Nature pour le climat : https://www.climatefund.nf-int.org/fr/content/la-s%C3%A9curit%C3%A9-alimentaire-%C3%A0-finkolo

De nombreuses communautés indigènes, ne recevant pas de réponses aux demandes adressées au gouvernement sur les mesures à prendre pour se défendre contre la pandémie, se sont tournées vers la Cour suprême qui leur a donné raison en obligeant le gouvernement à organiser des services médicaux dans les territoires indigènes, à présenter des plans d'expulsion des occupants illégaux et à créer des barrières sanitaires empêchant des personnes de l’extérieur de pénétrer dans les villages. Ce cri est parvenu au Conseil des droits de l'homme des Nations unies, le 26 février (l'audience se terminera le 22 mars), démontrant à la communauté internationale que, contrairement à ce qu’il dit, le gouvernement brésilien n'a pas pris de mesures efficaces pour lutter contre la pandémie de la Covid-19.

Dans ce cadre, la mort du dernier homme du peuple indigène des Juma, le guerrier Amoim Aruká, par des complications de la Covid-19, est déchirante. Lire la suite sur le site web de GIAN (italien, anglais) ---->

Une délégation de la section de Gran Pino a rendu visite au village au début de 2018 pour suivre la construction de ce premier puits, et a constaté qu'un seul puits ne suffirait pas à assurer le droit fondamental à l'eau potable pour les quelque 1 000 habitants du village. Ainsi, en 2020, un deuxième puits a été construit – cette fois avec une pompe électrique alimentée par des panneaux solaires.

En outre, 150 arbres fruitiers ont été plantés et, comme les deux puits, confiés aux soins de la population locale. Un groupe de villageois s'occupe de l'entretien des puits, des arbres dans le village et de l'évacuation hebdomadaire des déchets. Outre les campagnes de collecte des déchets, des séances d'information sur les comportements respectueux de l'environnement sont également organisées.

Cette année, la section de Gran Pino prépare un autre projet encore plus ambitieux : sous le titre « BOOTIMENTO » (« futur », en langue locale), il est prévu pour les prochaines trois années de donner aux enfants de Dango-Bangagou et des villages environnants les moyens d’avoir accès à l'éducation préscolaire. À cette fin, jardin d'enfants prêt à usage sera établi, qui proposera également un repas de midi aux enfants afin d'améliorer leur situation nutritionnelle précaire.
La demande de créer un jardin d'enfants est venue des femmes du village, souhaitant que leurs enfants puissent béneficier d’une éducation préscolaire, ce qui leur permettra d’avoir plus de temps pour d'autres activités en dehors de la garde des enfants, et de contribuer à leur tour à améliorer leurs conditions de vie.

Le bâtiment serait équipé de trois classes pour un total de 150 enfants. Des sanitaires, un logement pour l’enseignant et une cuisine avec un four solaire sont également prévus. Un système photovoltaïque permettra l'autosuffisance énergétique ; l'embauche d’un l'enseignant ainsi que l'achat de matériel pédagogique font également partie du projet.

Le groupe, qui s'occupe déjà de l'entretien des puits, des arbres et de l'élimination des déchets et qui compte désormais une trentaine de membres, s'occupera également de la gestion commune du jardin de l'école, où seront cultivés les légumes destinés aux repas de midi.

La section Gran Pino du GIAN soutiendra les villageois à travers un contact permanent depuis l'Italie et par trois missions sur place. Parallèlement, la création d'une section d'Amis de la Nature est envisagée, susceptible d’avoir son siège dans la cour de l'école.

Plus d´informations:
GIAN Sezione Gran Pino
Via F.D. Guerrazzi 110, 57023 Cecina, Italia
www.granpino.it
granpinocecina@gmail.com

Les deux organisations sont très actives.

Les Amis de la Nature de Bulgarie s'engagent en faveur des droits des minorités et contre le racisme et plaident pour une orientation écologique de la politique bulgare et une transition énergétique durable. Le MADJ travaille depuis de nombreuses années pour le respect des droits humains et contre la destruction du cadre de vie naturel des populations.

Les Amis de la Nature de Berlin coopèrent avec les deux organisations depuis plusieurs années et ont initié et soutenu les demandes d'adhésion au réseau international des Amis de la Nature. Des activités communes sont également prévues pour 2021.

L'équipe de l'IAN se réjouit d'une bonne coopération avec les deux nouvelles organisations membres !

Plus d’informations (en allemand) : NaturFreunde Berlin

En 2020, le Mouvement des Amis de la Nature fête son 125e anniversaire. Fondée à Vienne en 1895, l'association compte aujourd'hui 42 organisations membres dans 41 pays. Des milliers de groupes locaux s’engagent pour des activités de loisirs et de tourisme respectueuses de l'environnement et accessibles à tous, pour la protection de notre patrimoine naturel et culturel et pour la cohabitation pacifique et solidaire de toutes et tous.

Le Congrès international des Amis de la Nature s'est penché avec fierté sur les réalisations du mouvement des Amis de la Nature et a en même temps formulé un catalogue de défis et de propositions, sur lesquels les Amis de la Nature se pencheront dans les années à venir.

Mettre un terme au changement climatique induit par l´homme !

La lutte contre la crise climatique est l'une des tâches les plus urgentes. Selon des études récentes, le changement climatique menace la vie d'au moins un milliard de personnes, en particulier dans les pays du Sud global. Même dans les pays comparativement moins touchés, on observe déjà une augmentation significative des phénomènes météorologiques extrêmes, et la perte mondiale de biodiversité est exacerbée par le changement climatique. Nous devons renoncer aux combustibles fossiles et passer à une production d'énergie durable à partir de l'eau, du vent ou du soleil. Les technologies sont déjà industrialisées, il suffit de les mettre en œuvre à l'échelle mondiale.

Transformer le tourisme !

Le tourisme continue de jouer un rôle pour se détendre et s’instruire et pour promouvoir la compréhension internationale, mais une réorientation est nécessaire de toute urgence. Les voyages ne peuvent plus être un bien de consommation dont profitent notamment les grandes entreprises – sans bénéfices comparables pour les populations locales et causant des dommages massifs sur l'environnement. Le développement du tourisme doit être basé sur des critères de durabilité, tels que la protection des ressources naturelles, la réduction concomitante des émissions de gaz à effet de serre, le respect des droits humains et l'implication des populations locales.

Promouvoir des activités durables dans la nature !

Les découvertes actives de la nature sont une base pour les loisirs et le bien-être et devraient être davantage encouragées. Avec plus de 700 Maisons, les Amis de la Nature proposent un large éventail d’hébergements à des prix socialement compatibles et des offres attrayantes pour les familles et les groupes – dans de beaux paysages se prêtant à des activités de loisirs intéressantes et facilement accessibles par les transports publics. Des campagnes internationales, par exemple les « Sentiers Natura » ou le « Paysage de l'Année », invitent à découvrir la nature tout en prenant soin des habitats naturels ainsi que de la faune et de la flore locales.

Promouvoir des partenariats mondiaux !

Nous sommes fiers en tant qu’Amis de la Nature d'avoir des organisations membres dans plusieurs pays du Sud global. Cela nous donne l'occasion d'approfondir notre connaissance des développements mondiaux et de faire l'expérience de la diversité culturelle, de la solidarité et de l'amitié internationales. Les Amis de la Nature se sont depuis leur fondation engagés en faveur d'une société ouverte et solidaire et soutiennent ces organisations membres autant que possible.
Nous savons que de nombreux pays du Sud souffrent d'un faux développement économique basé sur l'exploitation des ressources naturelles et poussé par les pays industrialisés. Nous nous engageons pour un partenariat mondial menant à plus d’équité et d’égalité pour toutes les populations, et nous sommes conscients que c'est la seule façon humaine d'éviter des flux migratoires massifs à l'avenir.

Soutenir la transformation de l’économie et de la société !

Nous savons que la principale cause de la dégradation de l'environnement, de la surexploitation de nos ressources, du changement climatique et des inégalités croissantes réside dans notre système économique basé sur la croissance des profits plutôt que sur l’augmentation de la qualité de vie. Ce système a conduit à une concentration de la richesse et du pouvoir entre les mains d'un petit groupe de personnes, menaçant souvent nos sociétés démocratiques. Il est urgent de transformer notre économie et notre société, en renforçant la démocratie et en nous concentrant sur le bien commun comme base du développement durable. Avec d'autres ONG, les Amis de la Nature travaillent à un véritable « Green Deal » se concentrant sur les humains et sur notre planète et basé sur les principes des Objectifs de développement durable de l’Agenda 2030 des Nations Unies.

Assurer la paix ! Désarmer au lieu de réarmer !

L'engagement pour la paix et le désarmement s'inscrit dans la tradition du mouvement des Amis de la Nature. Nous sommes préoccupés par les développements actuels – tels que la résurgence de sentiments et de mouvements nationaux qui n'assurent pas la paix, mais mettent plutôt l'égoïsme, le repli sur soi et l'hostilité envers les autres–, par le spectre ravivé de la guerre froide entre l'Est et l'Ouest et la menace d'un retour à un nouvel armement, voire nucléaire.  
Nous appellons à une nouvelle phase de la politique de désarmement et de détente ainsi à la poursuite et l'approfondissement de la maîtrise des armements au niveau mondial. Au lieu d'investir dans l'armement, nous avons besoin d'investissements dans la protection du climat et la sécurité sociale !

Les Amis de la Nature comme force motrice du développement durable mondial

L’économie mondiale est fortement interconnectée, comme nous le vivons aussi actuellement avec la crise du Covid-19. En vue de maîtriser les grands enjeux du 21e siècle, une étroite coopération mondiale est nécessaire entre les ONG, les syndicats, les scientifiques, les mouvements sociaux et les acteurs politiques. Notre mouvement international qui compte plus de 350 000 adhérents, sera une force motrice dans ce processus !

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Lire le texte intégral

Plus d’informations sur le 125e anniversaire des Amis de la Nature

Avec l'action « Srebrenica calling », les Amis de la Nature d’Italie demandent du soutien financier pour les Amis de la Nature de Bosnie |Prijateli Prirode – Oaza Mira. Dans le village de Kasapic non loin de Srebrenica, détruit pendant la guerre, un vieux moulin doit être remis en service et produira à l'avenir également de l'électricité verte. (Pour en savoir plus, cliquez ici.)

L'eau sous toutes ses formes et son importance pour nous, les humains, était au centre du concours photo des Amis de la Nature France. Les photos soumises peuvent être vues ici --->

Les Amis de la Nature de Tchéquie ont eux aussi consacré la Journée à l’eau, à savoir aux berges de la Morava. Équipés de sacs poubelles et de gants, 14 bénévoles se sont réunis près de leur rivière, ont marché sur environ quatre kilomètres le long des berges et collecté 25 kilos de déchets dans le cadre de la campagne « Nettoyons la République tchèque ! ».

Les Amis de la Nature d'Allemagne ont invité à des Journées d'action nationales sous la devise « 125 ans d'Amis de la Nature – 125 ans de solidarité internationale ». Les célébrations ont compris un festival à Stuttgart, des conférences et des séances de lecture sur l'histoire des Amis de la Nature, des randonnées sur les traces historiques de groupes locaux ainsi que des randonnées. Les Amis de la Nature du Bade-Wurtemberg ont invité à la Journée internationale de la randonnée au lac de Constance avec des visites guidées spéciales à Friedrichshafen. Les Amis de la Nature de la Hesse ont organisé un week-end de randonnées au Vogelsberg, sur un Sentier Natura et un autre sentier circulaire. Des pierres peintes de motifs illustrant le respect de la nature ont été placées à des endroits choisis pour faire passer le message de l'anniversaire des Amis de la Nature.

Plusieurs autres groupes locaux ont également organisé des randonnées et des activités dans la nature. Par exemple, 17 Amis de la Nature finlandais ont fait une randonnée sur le sentier Karhupolku de 10 km – y compris une rencontre passionnante avec une famille d'ours ! Et les Amis de la Nature du Tyrol ont célébré l'anniversaire par une journée d'action au col Loassattel sur le massif du Hochpillberg, baigné de soleil.

Outre la reconstruction des maisons, un vieux moulin doit être remis en service et produira à l'avenir également de l'électricité verte. Un des objectifs du projet est d'établir le tourisme durable et doux dans la région et de donner une perspective économique aux habitants de la région.

Plus d´informations

L'un de ces camps est celui de Moria, sur l'île grecque de Lesbos, qui a dernièrement accueilli plus de 12 500 réfugiés – un lieu ne se prêtant pas à un séjour prolongé, vu l‘absence de conditions de vie acceptables et de perspectives d'avenir. L'incendie dévastateur du 8 septembre 2020 a laissé plus de 12 500 personnes sans abri, dont des enfants, des femmes enceintes et des personnes ayant des besoins particuliers. Des personnes qui ont fui leur pays en raison de conditions dangereuses ou peu sûres et qui ont dû quitter leur famille, leurs amis et leur domicile. Des personnes qui ont déjà tout perdu subissent aujourd'hui les conséquences de la politique d'asile ratée de l'Union européenne et de ses États membres, qui est contraire aux droits humains et aux droits de l’enfant.

Au lieu de criminaliser les victimes de l'incendie, tous les États membres de l'UE doivent être conscients que leur incapacité à mettre en place une procédure humaine et équitable vis-à-vis des réfugiés est à l’origine de cette triste évolution. Nous sommes maintenant arrivés à un point où nous ne pouvons plus fermer les yeux. Des mesures concrètes sont nécessaires immédiatement – pour aider les réfugiés de Lesbos, mais aussi pour prévenir des catastrophes humanitaires encore plus dramatiques à l'avenir. Le temps est venu de faire preuve de solidarité avec des personnes qui fuient les guerres, les dictatures et la pauvreté extrême, et d'agir conformément à notre engagement en faveur d'une Europe unie et cosmopolite.

De nombreuses villes européennes et certains États membres ont déjà déclaré qu'ils prendront en charge une partie des réfugiés de Moria, désormais sans protection aucune. D'autres ont déclaré qu'ils aideraient la Grèce à reconstruire un nouveau camp. Ces deux mesures sont utiles pour répondre aux besoins les plus urgents, mais ne résoudront pas la crise des réfugiés.

L'Internationale des Amis de la Nature et l'Internationale des Jeunes Amis de la Nature demandent à l'Union européenne et à ses États membres d'introduire une nouvelle politique d'asile humaine afin d'éviter de nouveaux camps avec des conditions de vie inacceptables et sans perspective pour les personnes qui y sont stationnées.

Une nouvelle politique d'asile devrait comprendre au moins les éléments suivants :

• Une approche décentralisée, qui accepte les offres de différentes villes et de différents pays et qui surmonte le régime de Dublin. Afin de motiver les villes et les pays à accueillir des réfugiés, les coûts liés au temps d'examen de la demande d'asile devraient être couverts par un budget européen pour l'asile. Les autorités locales, les entreprises et les ONG devraient être invitées à proposer des projets pour soutenir les réfugiés dans cette phase de pré-asile ;
• Des conditions de vie acceptables pour tous les réfugiés et des programmes obligatoires en matière de formation linguistique et d’autres formations, pour améliorer leurs compétences et leur ouvrir de nouvelles perspectives, soit pour leur vie future dans un pays européen, soit, en cas de rejet d'une demande d'asile, pour un retour dans leur pays d'origine.

L'Internationale des Amis de la Nature et l'Internationale des Jeunes Amis de la Nature encadrent depuis de nombreuses années des réfugiés sur un pied d'égalité. Grâce à des projets concrets, nous favorisons leur intégration dans la société européenne et nous continuerons sur cette voie à l'avenir.

(Septembre 2020)

Il s'agit d'une grande maison située à l'extérieur de Montaretto (municipalité de Bonassola), un petit village de 100 habitants, à 300 mètres au-dessus du niveau de la mer. La maison est à deux pas des Cinque Terre, l'un des plus beaux paysages d'Italie. On peut y accéder soit en voiture en 10 minutes (depuis Bonassola ou Framura), soit à pied – en empruntant de beaux chemins forestiers d’où s’ouvre une vue superbe sur la mer et ponctués de vestiges de l'occupation fasciste (anciens bunkers, postes de contrôle à la mer ...). La marche prend 20 minutes en descente, deux fois plus en montée.

« Le Scuole Nanni Scarrà » est une maison d'hôte non gardée. Toutefois, en raison de la pandémie de la Covid-19, les possibilités d'accès sont actuellement limitées : des groupes (un seul à la fois) entre 6 et 12 personnes sont acceptés, qui doivent apporter leurs propres draps et serviettes de toilette. Le tarif comprend l'utilisation de la cuisine.

Adresse : Via del campo 14 Fraz. Montaretto, 19011 Bonassola (SP)
Courriel : ostellomontaretto@amicidellanatura.it
Tél. portable : +39 339 854 1913 (Katia)

Site web

Ainsi, avec les journées d'action « 125 ans d’Amis de la Nature – 125 ans de solidarité internationale », les Amis de la Nature d'Allemagne veulent donner un signal fort pour une coopération solidaire au niveau local comme au niveau mondial. La coopération peut par exemple prendre la forme de partenariats internationaux entre groupes d'Amis de la Nature, destinés à la conception et à la mise en œuvre d’idées et projets. Nous soutiendrons cette initiative au niveau international et nous réjouissons d’avance de la participation active de nos membres.

La crise du coronavirus frappe particulièrement les populations défavorisées : les personnes ayant un emploi précaire, un handicap ou des problèmes de santé, les demandeurs d'emploi, les migrants et les réfugiés ainsi qu'une grande partie des populations des pays du Sud, qui souffrent déjà massivement de la crise climatique. Ces personnes ont besoin de notre soutien en ce moment précis !

Les groupes locaux intéressés à des partenariats internationaux peuvent contacter le secrétariat de l'IAN par e-mail (office@nf-int.org). Nous serions également heureux de recevoir des informations de groupes prévoyant une autre activité de solidarité autour de la Journée internationale des Amis de la Nature. Fin 2020, un jury international des Amis de la Nature sélectionnera les activités les plus réussies de l'année anniversaire. Les trois activités les mieux classées recevront 500 euros chacune – la participation est donc doublement payante !

Une contribution personnelle à une coopération solidaire est également possible par le biais d'un don au Fonds des Amis de la Nature pour le climat. Les dons vont à 100% aux plantations d'arbres fruitiers dans le nord du Sénégal, réalisées par les Amis de la Nature du Sénégal en étroite collaboration avec les populations. Plus d'informations sur le site du Fonds pour le climat.

Plus d'informations sur les journées d'action « 125 ans d’Amis de la Nature – 125 ans de solidarité internationale » des Amis de la Nature d’Allemagne (uniquement en allemand) sur : --->

La crise n'est pas seulement une crise sanitaire, mais aussi une crise systémique. Elle donne peut-être aussi un avant-goût amer de l'avenir. « Corona montre à quel point une crise mondiale peut nous affecter en tant que communauté mondiale. Mais nous pouvons aussi nous faire une idée de ce que le changement climatique en tant que crise mondiale pourra détruire dans les prochaines décennies. Cela devrait nous secouer », a déclaré Patricia Espinosa, secrétaire générale de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, dans une interview donnée au magazine allemand « Der Spiegel ».

Le moment est venu de remettre en question les modèles économiques traditionnels, de regarder vers l'avenir et de poser les jalons d'une plus grande durabilité. Dans ce sens, l'IAN, avec une large alliance d'ONG européennes, appelle également les dirigeants politiques à prendre des mesures concrètes pour le changement de système et la reconstruction économique, conformément à l'« Agenda 2030 pour le développement durable du monde » des Nations Unies, au centre duquel se trouvent les humains et la nature :

• Lettre ouverte des organisations de la société civile à la Commission européenne : « Pour une Europe attentive à tous et toutes – pendant la pandémie de COVID-19 et au-delà ». Ce n'est que par la solidarité, la démocratie, l'inclusion, la justice et la durabilité que nous sortirons plus forts de la crise.
• Pétition #SavePeopleNotPlanes – Non au sauvetage inconditionnel du secteur aérien !

La pandémie du coronavirus cause beaucoup de douleur et de souffrance, non seulement là où nous vivons, mais dans le monde entier. Il est maintenant important de soutenir les plus faibles dans notre société, de s’unir et de faire preuve de solidarité. Et cette solidarité ne doit pas s'arrêter aux frontières nationales.

Ne fermons pas les yeux sur la situation dramatique des camps de réfugiés dramatiquement surpeuplés dans les îles grecques, en Turquie ou au Liban, où des personnes désespérées, dont des milliers d'enfants et de jeunes, ont dû faire face à une situation désastreuse pendant de nombreux mois. Il s’impose de ne pas ignorer leur sort en cette période particulière !

Nous ne devons pas non plus fermer les yeux sur la situation en Afrique, un continent où, à de nombreux endroits, les soins médicaux, les hôpitaux et les équipements sanitaires font défaut. Ici aussi, un soutien financier, professionnel et médical est nécessaire rapidement pour sauver des vies humaines.

C'est le moment d'agir et de vivre dans la solidarité !

La situation actuelle nous montre clairement les aspects négatifs de la mondialisation. Mais nous constatons aussi que beaucoup de choses sont possibles : les gens s'entraident, se soutiennent mutuellement, et les objectifs de croissance économique passent de plus en plus au second plan.

Il y a un tendre rayon de lumière à l'horizon : chaque crise renferme aussi des opportunités. Saisissons ces chances ! Unissons nos forces pour sortir plus forts de cette période difficile !

Dirigeons-nous vers plus d'humanité, vers la solidarité authentique, vers de nouveaux modèles d'avenir axés sur la personne humaine et la protection de notre planète – conformément à l’« Agenda 2030 du développement durable du monde » adopté par les Nations Unies : une vie bonne et sûre pour tous et toutes !

Les fédérations et sections ont présenté leurs projets réussis, ont essayé de trouver ensemble des solutions à des problèmes et élaboré des idées pour une coopération plus étroite aux niveaux régional et local.
Plus d'informations (en tchèque et en allemand) et photos sur le site des Amis de la Nature tchèques.
 

La Conférence annuelle du BEE s'est tenue sur le thème « Naviguer dans le vent du changement pour l'environnement européen » (« Sailing the winds of change for Europe’s Environnement »).

Les conséquences négatives du changement climatique sont déjà palpables et la perte de biodiversité (par exemple la mortalité des insectes) est clairement visible. Une proportion croissante de la population, en particulier des jeunes, appelle les politiciens à agir. L'Europe est la région du monde la mieux informée sur l'environnement, et ses lois environnementales et sociales sont les plus développées. Le mouvement des jeunes luttant pour des comportements respectueux du climat a renforcé les Verts au Parlement européen et, d'autre part, la nouvelle Commission souhaite présenter le « Green Deal européen » dans les cent premiers jours de son mandat.

Les présidences jouent un rôle important dans ce contexte, qui sont constamment soutenues par le BEE – et c’est l'un de ses atouts – dans la mise en œuvre des objectifs de durabilité en Europe. Lors de cette Conférence annuelle, des experts et des représentants du Parlement européen, ainsi que des représentants de la prochaine présidence allemande, ont également pris la parole pour rendre compte de leurs plans de mise en œuvre de l'agenda européen.

A l'unisson, tous les représentants politiques – que ce soit au plan européen ou dans les Etats membres – considèrent le « Green Deal européen » comme l'occasion de donner à l'Europe un contenu positif pour ses citoyens et citoyennes, en faisant avancer non seulement l'agenda écologique mais aussi l’agenda social. Les 100 prochains jours sont donc une période clé pour préparer cet accord vert européen.

La mise en œuvre du « Green Deal européen » a également fait l'objet de discussions lors de l'Assemblée générale annuelle du BEE. Il est apparu clairement qu'un « Green Deal européen » parallèle à l'actuelle politique agricole et au soutien structurel n'a guère de sens et ne peut avoir du succès. Il faut plutôt que les flux financiers de l'UE soient eux-aussi redirigés dans le sens d'un Green Deal. Cela signifie pour la politique agricole que des fonds publics ne pourront être affectés qu'à des fins publiques et qu'il faudra mettre un terme aux subventions agricoles écologiquement contre-productives. À leur place il s’agit de promouvoir l'agriculture biologique, de préserver les puits de CO2 tels que les forêts, les marais et les paysages naturels, et d’investir dans des infrastructures durables telles que les trains à grande vitesse. Bien entendu, les régions rurales en particulier doivent être mises en valeur et renforcées afin de préserver leurs fonctions pour la nature, l'environnement et les habitats.

Ce qui est positif, c’est que la responsabilité générale de la politique climatique ait été confiée au Vice-Président de la Commission, Frans Timmermans, et que d'autres domaines tels que la politique agricole ou la politique des transports soient astreints de lui rendre compte – on peut espérer que la politique climatique sera enfin appliquée également dans les politiques sectorielles.

Dans le cadre des Green 10 et du BEE, l'IAN soutiendra toutes les mesures qui déboucheront sur une politique climatique efficace et à un « Green Deal européen » digne de ce nom.

Des élèves de différents groupes d'âge mènent des campagnes communes contre le changement climatique. L'internationalité du projet climatique souligne un message important : le changement climatique ne s'arrête pas aux frontières nationales et chacun doit s'occuper de la protection du climat.

Le projet a démarré en Allemagne et au Togo en 2010, le feedback a été si bon que bientôt des ateliers se sont tenus également en Namibie (2014 à Swakopmund et 2015 à Windhoek) et en 2017 au Chili.
Plus d’informations sur le site web relooké.

Fin juillet 2018, les Amis de la Nature d’Autriche ont été invités en Iran pour un symposium d'alpinisme à l'occasion du 175e anniversaire de la première ascension du Damavand, le plus haut sommet du Moyen-Orient, par l'Autrichien Karl Georg Theodor Kotschy. Autrichiens et Iraniens ont marché côte à côte jusqu'au sommet du cône volcanique de 5 671 mètres de haut.

Ce fut le point de départ de la formation de guides de montagne, lancée par les alpinistes des Amis de la Nature autrichiens pour l'année à venir. 24 alpinistes iraniens, dont trois femmes, ont ainsi été préparés à leur futur métier de guide de montagne. Fin septembre 2019, les Amis de la Nature d’Autriche ont organisé plusieurs ateliers en Iran, dans le cadre du « Eco Sustainable Symposium », sur les possibilités de promotion du tourisme de montagne, et y ont présenté des exemples autrichiens.

Il y a actuellement environ 64 000 alpinistes en Iran. Près de 1 000 personnes sont actives comme moniteurs et guides de montagne – les Amis de la Nature d’Autriche continueront à soutenir l’Iran dans le cadre de la formation d’après des normes internationales.

Article paru dans eTurboNews

JUST ACT en Gambie travaille intensivement avec les Amis de la Nature dans le cadre du Paysage de l'Année Sénégal/Gambie depuis plusieurs années. L'organisation s'engage en faveur du développement du tourisme durable et de la création de perspectives d'avenir, en particulier pour les jeunes en Gambie, et dispose d'un réseau d'experts de renommée internationale. En savoir plus.

L'organisation des Amis de la Nature récemment fondée en Bosnie gère une maison AN à Srebrenica et s'engage pour la protection de la nature et de l'environnement et pour le développement d'un tourisme durable à Srebrenica et dans les environs. En savoir plus.

Ils entendent soutenir les milieux locaux de l'escalade et surtout ouvrir aux jeunes des possibilités de loisirs actifs. Enfin et surtout, ils veulent – par le biais des voies d’escalade – construire des ponts entre les habitants de Naplouse et de Nuremberg, entre les jeunes de la région. Lisez un rapport détaillé anglais dans notre tourism_LOG. (rapport en allement sur le site web de NaturFreunde Deutschlands)

Offres d'accompagnement thérapeutique en plein air

« Outdoor against Cancer : move yourself, go out and live » est un projet soutenu par la Commission européenne. L'Université technique de Munich, en collaboration avec les Amis de la Nature de Carinthie (Autriche) et quatre autres organisations d'Allemagne, d'Italie, de Suède et de Grèce, a reçu un financement d’« ERASMUS+ Sport » pour 2019 et 2020. Entre autres choses, des actions sont organisées pour informer sur les effets positifs du sport et des exercices physiques pendant et après la maladie.
Il ne s'agit pas là de sport de compétition, mais de renforcer le corps et l'esprit pendant une période difficile, par des exercices réguliers et ciblés. Les offres d'exercices physiques et de plein air des Amis de la Nature fournissent un cadre approprié à cet effet.

Formation continue pour moniteurs

Afin d'assurer une offre de qualité également pour les personnes atteintes de cancer, il est important de doter les moniteurs de cours des Amis de la Nature des connaissances nécessaires. Cette formation continue, développée par la Faculté des sciences du sport et de la santé de l'Université technique de Munich en collaboration avec l'association « Outdoor against Cancer », est désormais également proposée aux Amis de la Nature d’Autriche dans le cadre du projet européen.

Le premier stage de formation avancée de deux jours a eu lieu en mai 2019. 16 Amis de la Nature y ont participé et ont appris en théorie et en pratique ce qui doit être pris en compte dans leurs cours lorsqu'ils traitent avec des patients atteints de cancer. Dans la partie pratique, les participants ont pu expérimenter eux-mêmes, par exemple à l’aide de simulations, ce que cela signifie d’être actif avec des limitations physiques. Ces expériences permettent aujourd'hui aux participants de mieux se mettre dans le rôle des patients et donc de garantir leur sécurité.

Premiers cours certifiés « Outdoor against cancer » proposés

Dans un proche avenir, les participants qui ont terminé la formation par un examen final proposeront leurs propres cours certifiés « Outdoor against Cancer ». Les activités vont de la randonnée facile au ski, en passant par l'escalade et le bloc. De nouveaux stages de formation sont prévus pour l'automne 2019 et pour 2020. De nombreux cours en plein air pour les patients atteints de cancer auront ensuite leur place fixe dans les activités proposées par les Amis de la Nature d’Autriche.

Naturfreunde Österreich (Amis de la Nature Autriche)

L’orientation de la politique européenne, trop centrée sur la libéralisation économique et la stabilité monétaire, a amené de nombreux citoyens à douter du sens et de la finalité de l'Union européenne. Ce n'est pas un hasard si les citoyens du Royaume-Uni ont décidé par référendum de se retirer de l'UE, alors que la Grande-Bretagne était le principal moteur de la politique néolibérale, et ont ensuite blâmé l'Union européenne pour ses conséquences négatives. Ce schéma selon lequel des politiciens entravent le progrès dans l’UE, mais blâment ensuite l'Europe chez eux pour tous les effets négatifs qui en résultent, est malheureusement répandu chez nombre de partis populistes en Europe qui, dans la perspective de l'élection imminente au Parlement européen, en mai, font également campagne de manière offensive pour une réduction des compétences de l'Europe en faveur de compétences nationales. 

Il est toutefois évident que seule une Union européenne forte qui met en œuvre résolument ses objectifs de durabilité peut relever les défis mondiaux :  

1. Le changement climatique mondial affecte tout le monde et ne peut être abordé au seul niveau national. L'Union européenne doit prendre au sérieux les objectifs climatiques de Paris et promouvoir la transformation énergétique en Europe. À cette fin, nous avons besoin d'une taxe sur le CO2 à l'échelle européenne pour accélérer le passage à une économie sans CO2. Un « Green New Deal » favorise non seulement le passage à une politique énergétique durable, mais permet également l'émergence de nouveaux secteurs économiques prometteurs.  

2. La politique agricole européenne doit abandonner la production de masse orientée vers l'exportation, en faveur d'une alimentation régionale de qualité, saine et abordable. L'interdiction des pesticides chimiques tels que le glyphosate, la promotion de la biodiversité et le respect du bien-être animal sont non seulement à la base d’une alimentation saine, mais contribuent également à la préservation de notre environnement naturel.  

3. Une bonne vie repose avant tout sur l’existence d'importants services publics tels que les écoles, l'eau et l’énergie, l'approvisionnement alimentaire local, les transports, l’assainissement et le recyclage. Au lieu de privatiser ces services – ce qui signifie en fin de compte que la qualité n'est garantie que dans les grandes agglomérations et a déjà échoué dans de nombreux pays – nous devons protéger et promouvoir ces services publics dans les zones rurales également. Les aides régionales européennes sont essentielles pour parvenir à un équilibre entre zones urbaines et rurales.

 
4. Les entreprises nationales et internationales bénéficient des infrastructures publiques et des importantes établissements d'enseignement et de recherche financés par des impôts. Il faut cesser d’instrumentaliser la concurrence entre États nationaux, ce qui a contribué à des impôts sur les sociétés ridiculement bas. Seule une action concertée au niveau européen peut briser ce cercle vicieux du dumping fiscal, afin de parvenir à une justice fiscale à tous les niveaux. Nous avons besoin de taux minima européens pour l'imposition des bénéfices des sociétés, d’une imposition sur le lieu de production et non dans le pays du siège social, de l'abolition des exonérations telles que pour l'aviation et le transport maritime, d’une taxe européenne sur les transactions financières et de la création de sites d'exploitation numériques. Les subventions de l'UE doivent être subordonnées à un niveau d'imposition adéquat dans les pays et à d'autres critères de durabilité.   

5. L'UE doit également garantir le respect des normes environnementales et sociales, tant au sein de l'Union même qu'au niveau mondial avec ses partenaires commerciaux. Il ne doit pas y avoir de commerce de produits issus du travail des enfants et du travail forcé ; nous avons besoin d'un cadre juridique tout au long de la chaîne de valeur, avec des normes d'étiquetage strictes. Le dumping salarial et social, en particulier, doit être empêché efficacement, car il a contribué de manière significative à l'agressivité qui règne malheureusement à l'égard des « étrangers ».    

6. L'Europe doit combattre les causes de fuite et non les réfugiés. Tout le monde sait que les millions de personnes qui quittent leurs pays n'ont pas choisi volontairement ce sort. Nous avons besoin d'une politique commune humaine en matière d'asile, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur, d'un service européen de sauvetage en mer et d'un fonds de solidarité européen pour soutenir les villes et les communautés qui accueillent des réfugiés et pourvoient des services d'intégration actifs.    

7. Afin de mettre en œuvre bon nombre de ces mesures, nous devons également abolir le principe de l'unanimité. Il est inacceptable que le rythme des changements nécessaires soit donné par ceux qui cherchent à paralyser des décisions, créant ainsi un climat hostile à l'UE. Le Parlement européen doit lui aussi disposer de droits plus importants, par exemple par l’octroi d’une compétence législative. 

Toutes ces revendications répondent aux objectifs de durabilité environnementale et sociale – elles contribueront à la protection sociale, à l'emploi et à la prospérité même dans les régions défavorisées. Andreas Schieder, Président des Amis de la Nature d’Autriche, est candidat tête de liste du parti social-démocrate autrichien pour le Parlement européen. Il demande que le pacte néolibéral de stabilité et de croissance de l'UE cède la place à un pacte de développement durable régi par des objectifs économiques, écologiques et sociaux contraignants. Des indicateurs tels que le taux de chômage, les émissions de CO2, le coût du logement ou la répartition des richesses, qui reflètent mieux l'état du bien-être écologique et social, devraient remplacer le critère actuel du niveau d'endettement.  

  
En fin de compte, il est également crucial que le plus grand nombre possible de citoyens participent à l'élection au Parlement européen afin que les destructeurs déclarés de l'Europe ne puissent causer encore plus de dommages – contre lesquels ils prétendront ensuite devoir nous « protéger » au niveau national. 

Une semaine de festivités pour tous et toutes aura lieu après le Congrès de l'IAN, tenu le 13 juin 2020. Les visites guidées et les randonnées peuvent aussi être organisées tout au long de l'année en concertation avec les Amis de la Nature de Vienne. Si vous êtes intéressé/e/s, veuillez contacter directement le secrétariat des Amis de la Nature Vienne : wien@naturfreunde.at

Événements et conférences prévus (en anglais).

« Hourra ! » serait-on tenté de dire. Mais il s’est bientôt avéré que ce modèle ne fonctionnait pas. S’il est vrai que les deux organisations étaient réunies sous un même chapeau, il n’y avait que très peu de collaboration entre elles. Ceci a pourtant changé lorsque plusieurs nouvelles sections d’Amis de la Nature ont vu le jour et que des actions communes ont été lancées, par exemple la réunion annuelle d’une durée de plusieurs jours, et divers projets. Malheureusement Duha n’est plus membre des Amis de la Nature tchèques depuis 2015, ce qui nous a coûté 3 000 jeunes adhérents. Désormais la Fédération nationale travaille « uniquement » dans sept sections – dont la plus importante se trouve à Jablonec nad Nisou, avec 350 adhérents – mais les activités et la coopération sont intenses dans les domaines de la nature, de la culture, de l’histoire, des droits humains, de la participation et du tourisme doux. 

Une longue tradition 

Toutefois, les origines de la Fédération remontent plus loin, jusqu’à la fin du XIXe siècle. Georg Schmiedl, l’un des fondateurs du mouvement des Amis de la Nature, est né à Prossnitz (aujourd’hui Prostejov, en Tchéquie de l’Est). Le premier groupe d’Amis de la Nature sur le territoire de la Tchéquie actuelle s’est constitué dès la fondation du premier groupe à Vienne, en 1895 (le groupe fondé en 1897 à Trnovany en Tchéquie du Nord a d’ailleurs été le troisième plus ancien du monde). Le mouvement a continuellement grandi, et une association nationale s’est finalement constituée en 1921 au Congrès de Prague – les « Amis de la Nature de Tchécoslovaquie ».  

A cette époque, les Amis de la Nature étaient, à quelques exceptions près, purement germanophones et travaillaient dans les régions frontalières de la Tchécoslovaquie. Ils ont construit leurs propres Maisons d'Amis de la Nature afin d'avoir un endroit pour dormir du samedi (à l’époque une journée de travail) au dimanche. Avant la guerre, il y avait 39 Maisons des Amis de la Nature en Tchécoslovaquie (également dans les Hautes Tatras), mais la seule ayant survécu jusqu'à ce jour est la « Maison du Président », construite en 1927 dans les montagnes de Jizerské. 

Après qu'Adolf Hitler et son NSDAP ont pris le pouvoir en Allemagne et annexé l'Autriche, berceau des Amis de la Nature, le mouvement des Amis de la Nature a été interdit en Allemagne et en Autriche, les membres de l'association ont été persécutés, certains même emprisonnés. En 1936, les Amis tchécoslovaques de la Nature ont proposé d'organiser un congrès du mouvement international à Brno. Deux ans plus tard, les Sudètes tchèques et bientôt le reste de la Tchécoslovaquie furent occupés par l'Allemagne. Là aussi, les nazis ont interdit les Amis de la Nature et confisqué leurs biens, comme en Allemagne et en Autriche. 

Dans la Tchécoslovaquie ressuscitée après la guerre, il n'a pas été possible d’établir des organisations allemandes ou de gauche ; et même après la « construction du socialisme », de telles idées n'ont pu se réaliser. Ce n'est qu'après la Révolution de velours de 1989 que le mouvement a connu sa « renaissance ». Avec l'aide d'Amis de la Nature allemands et internationaux, le mouvement en Tchécoslovaquie a été reconstitué en 1991 à Jablonec nad Nisou, et depuis 1994 les Amis de la Nature sont actifs dans toute la République tchèque. Et c'est ce que nous célébrons aujourd'hui ! 

Přátelé přírody z. s. / Les Amis de la Nature de Tchéquie  

www.pratele-prirody.cz 

Message d'anniversaire de Manfred Pils, Président de l’Internationale des Amis de la Nature 

Au nom de la communauté internationale des Amis de la Nature, je tiens à saluer chaleureusement les Amis de la Nature de la République tchèque à l'occasion de leur anniversaire. Mes remerciements particuliers vont à Mirek Prokes qui a joué un rôle important lors de la fondation des Amis de la Nature en République tchèque, dont il a été l’initiateur. Ces 25 années ont été marquées par de nombreux développements importants. Un optimisme général a régné après la chute du mur de Berlin, ce qui a finalement amené la République tchèque à rejoindre l'Union européenne. Malheureusement, la prospérité promise n'a pas été répartie équitablement entre toutes les couches de la population ; c'est pourquoi un mécontentement politique se manifeste désormais dans de nombreux pays de l'Union européenne, ce qui a également conduit au soutien aux partis populistes de droite ou même nationalistes dans de nombreux pays européens. Mais la fermeture des frontières n'est qu'une solution à courte vue – nous devons travailler ensemble pour transformer l'Union européenne en une Union sociale et durable, dans laquelle la solidarité et la prospérité partagée jouent un rôle essentiel. Depuis sa fondation en 1895, l’Internationale des Amis de la Nature a toujours mis l'accent sur la compréhension et la solidarité internationales. Des rencontres internationales et des projets réalisés en commun rendent tangible cette internationalité et, espérons-le, aident à faire tomber les murs dans les mentalités des gens. C'est dans cet esprit que nous souhaitons aux Amis de la Nature de la République tchèque beaucoup de succès pour les décennies à venir.  

Avec un cordial « Berg frei ! » 

Manfred Pils, Président de l’IAN 

Aujourd’hui le monde oasien connaît une véritable crise sous l’effet d’un modèle de développement inapproprié.

Les causes du déclin des écosystèmes oasiens reposent sur

* des détériorations climatiques marquées avec une accentuation de la sécheresse et de ses conséquences sur la disponibilité en eau,

* l’inadéquation de la pression démographique et de l’urbanisation par rapport à la capacité de charge limitée de l’écosystème oasien,

* la mainmise des tenants de l’import-export sur les circuits de commercialisation des produits locaux,

* les modifications des modes de vie et de consommation, en particulier la consommation de produits manufacturés au détriment des produits alimentaires artisanaux locaux,

* l’absence d’évolution du droit sur le foncier, la gestion de l’eau et les modes d’exploitation. Il en résulte actuellement un morcellement des terres, d’où des incohérences fortes dans un système complexe et organisé dont la survie est reliée à des contraintes fortes,

* l’enclavement géographique,

* l’absence de reconnaissance de la spécificité oasienne par les politiques publiques, en particulier dans le domaine de la recherche en agriculture, de l’éducation et de la formation continue.

Toutes ces évolutions conduisent à l’hémorragie des forces vives, aussi bien au travers de la fuite des capitaux, que de l’exode des jeunes vers les villes ou l’étranger.

Face à cela les Amis de la Nature d’Algérie agissent pour proposer des solutions à ces différentes crises.

Hedibi Abdellatif

Président d’A.T.L.E.D (Amis de la Nature d’Algérie)

En plus de ce beau voyage en Alaska, un de nos membres, Niels Jespers (membre du Bureau) ira au Pakistan et tentera de réussir l'ascension du K2, sans oxygène supplémentaire. Il sera le premier Belge à le faire. Il grimpe de manière autonome, en style alpin. Après l'ascension du Khan Tengri et du Nanga Parbat, ce sera à nouveau une grande et belle expérience. Vous trouverez plus d'informations sur son site web : https://www.nielsjespers.be

Lars Ilya Meulenbergs 

Président Groupe Alpinisme (Natuurvrienden Bergstijgers) d’ATB De Natuurvrienden  

Very famous, unfortunately, have become the images of the eradication of 300,000 trees in the Dolomites in a forest known to provide the precious wood the Stradivari violins are built with; less powerful but equally painful were the injuries suffered in the area where there are 2 local groups of Italian Naturefriends, fortunately without causing damages to NF houses.

This is the case of Monte Baldo on the eastern side of Lake Garda, where numerous trees have been uprooted and have closed the forest paths at several points near the Casa NF Baito 359; much more violent instead was the wind that hit the Camonica Valley (in particular Saviore dell'Adamello) exceeding 200 km/h with the consequent uprooting of about 20,000 old trees. The event was so powerful that the local authorities asked the local population not to leave the house for any reason and, the next day, the forest was completely closed by walls of fallen trees. Furthermore, the situation in this area is far from being resolved: winter is coming, and the municipality still awaits the funds to start the work of cleaning the forest on a large scale.

In both cases, however, the friends of nature became protagonists of voluntary activities, much appreciated by the respective communities, restoring with intense manual work the viability of the woods.

For information: info@amicidellanatura.it

Ce camp est une occasion idéale pour de jeunes alpinistes du monde entier non seulement de se réunir et d’entreprendre ensemble l'ascension du Damavand (5610 m), le plus haut sommet de l’Iran et le sommet volcanique le plus élevé d'Asie occidentale, mais aussi de faire connaissance avec d'autres cultures et de rencontrer de nouveaux amis. Depuis 2015, l’association accueillait cet événement et recevait des participants venus de toute l'Europe, notamment de France, d'Italie, d'Allemagne, de Belgique, du Danemark, de Pologne, d'Afghanistan, de Malaisie, d'Inde, d'Azerbaïdjan et de Sri Lanka. Le Club a également eu la chance d'accueillir des alpinistes expérimentés comme Krzysztof Wielicki.

Le prochain camp aura lieu du 20 juillet au 1er août 2019. Plus d´informations.

Atour Adventure Club

Le Bureau central de NIVON a le plaisir d’inviter un groupe restreint de représentants de la famille internationale des Amis de la Nature. Les membres de l'IJAN sont spécialement invités à participer au programme.

Le 95e anniversaire sera le prélude à un événement encore plus important. Nous soulignerons l’importance des valeurs auxquelles nous croyons : l’honnêteté, la durabilité, les comportements sociaux et tolérants. NIVON s’engage pour une société solidaire. 

En 2024, NIVON espère célébrer son centenaire. La même année, les Amis de la Nature néerlandais commémorent aussi leur adhésion à l'IAN, il y a exactement cent ans.

Site web NIVON

(Novembre 2018)

Everyman’s rights

Everyman’s right is an important part of people’s lives in Finland, allowing free access to forests and land areas almost everywhere in the country. Irrespective of people’s place of residence, everyman’s right plays an important role for them, especially in outdoor recreation, eco-tourism and the use of nature as a source of livelihood. Without everyman’s right, people would be confined to public areas, roads and the land that they personally own. According to several studies, being in the forests and close to nature increases the well-being: recovering from the stress is enhanced, the mind is refreshed, and the heart pulse and blood pressure are decreased.
 
Everyman’s rights are for the Finns quite self-evident as we have enjoyed them for all our lives. Only the people in Norway and Sweden have similar rights. Therefore, for many foreign visitors it is hard to believe that everybody can pick up mushrooms or eat blackberries in the forest. 
 
Everyman’s rights allow people to:

• move about on foot, ski and bicycle in nature, such as in forests, natural meadows and water bodies,
• ride horses,
• stay in and temporarily stay overnight in areas where movement is also permitted,
• pick wild berries, mushrooms and unprotected plants,
• angle and ice fish, and
• boat, swim and wash themselves in waters and move about on ice.

 
The key principles of everyman’s rights are derived from the Finnish Constitution, which also ensures the protection of property. Accordingly, there are certain limitations to the rights and people are not allowed to:

• disturb the use of land by the landowner,
• move about in yards, cultivated areas or cultivated fields,
• cut down or harm growing trees,
• take dry or fallen wood,
• take moss or lichen,
• light an open fire on another’s land,
• disturb domestic premises, for example, by camping too close to dwellings or making noise,
• drop litter in the environment,
• drive a motorised vehicle off-road,
• disturb or damage birds’ nests or chicks,
• disturb animals, or
• hunt or fish without the appropriate permits.

The Finnish Yle, the public service broadcasting company, has launched  a one-week campaign "Mennään metsään” - “Let’s go to forest”,  where people can register their visits to nature. So far there are already more than 290,000 visits in the register: https://yle.fi/aihe/mennaan-metsaan. During the campaign Yle also offers a rich variety of nature-related programs.
 
Finland is planning to apply for the everyman’s rights to be included in the Unesco cultural heritage list of living traditions. The list has more than 450 objects from 117 countries – so far nothing from Finland.

Naturefriends Finland

(October 2018)

Des spécialistes internationaux ont pu être recrutés pour les différents panels. L’Internationale des Amis de la Nature, représentée par Katrin Karschat, avait été invitée à présenter l’initiative Transforming Tourism. Cette initiative qui met en lumière les défis pour le secteur du tourisme quant à l’Agenda 2030 et qui aborde aussi les droits humains dans le tourisme, a suscité un vif intérêt et donné lieu à une discussion intéressante.

Ecocity Forum | Amis de la Nature Grèce | Transforming Tourism
 
(Octobre 2018)